You can browse the exhibits at Museum of Fine Arts of Lyon, a museum with a story of its own, during your trip to Lyon. While you're in the area, stroll along the riverfront.
Bartholdi Fountain is located in a historic area of Lyon known for its beautiful river views. If you're looking for a convenient place to stay, check out the 463 hotels and other accommodations you'll find within a mile.
Where is the best place to stay close to Bartholdi Fountain?
How many hotels are there near Bartholdi Fountain?
Expedia has 463 hotels and other accommodations within a mile from Bartholdi Fountain.
If I need to cancel the hotel reservation for my stay near Bartholdi Fountain, will I receive a refund?
Yes, most hotel reservations are refundable provided that you cancel before the hotel’s cancellation deadline, which in most cases is within 24 or 48 hours of the scheduled arrival. If you have a non-refundable reservation, it might still be possible to cancel it and be given a refund within a 24-hour period of your booking. Plug in your dates, click on "Search", then use the "fully refundable" filter to view top deals close to Bartholdi Fountain.
Where can I learn more about changing or cancelling my trip in the area near Bartholdi Fountain?
You'll want to browse the collections at Museum of Fine Arts of Lyon, Lumière Museum, and Musée des Confluences. Hôtel de Ville de Lyon, Lyon Cathedral, and Basilica of Notre-Dame de Fourvière are some of the local landmarks to explore. You can watch performances at Lyon National Opera, Transbordeur, and Halle Tony Garnier if you're interested in local theater.
How can I get to Bartholdi Fountain?
With so many ways to get around, seeing the area around Bartholdi Fountain is a breeze. Nearby metro stations include Saint-André Tram Stop, Rue de l'Universite Tram Stop, and Guillotière Gabriel Tram Stop. If you're hopping a train into town, Lyon Perrache Station, Lyon Jean Mace Station, and Lyon Saint Paul Station are the closest train stations to Lyon City Centre.
![La Cour des Voraces est une cour d'immeuble lyonnais, célèbre pour son monumental escalier de façade de six étages (escalier à volées libres). C'est une impressionnante traboule qui permet de passer du 9 de la place Colbert au 14 de la montée de Saint-Sébastien ou au 29 rue Imbert-Colomès. Située sur les pentes de la Croix-Rousse, la Cour des Voraces est un symbole lyonnais. Construite vers 18401, c'est un bel exemple d’une architecture populaire dite « canuse », liée à l'industrie de la soie qui a profondément marqué le quartier. Mais c'est également un lieu qui symbolise quelques grands moments de l'histoire lyonnaise. La révolte des Canuts[modifier | modifier le code] Une plaque commémorative indique que « Dans la cour des Voraces, ruche du travail de la soie, les canuts luttaient pour leurs conditions de vie et leur dignité ». La cour des Voraces tient certainement son nom d'un groupe d'ouvriers canuts nommés les Voraces, qui s'illustrèrent par leurs insurrections républicaines de 1848 et 1849.
On raconte que la Cour des Voraces (également appelée « Maison de la République ») a servi de refuge aux ouvriers canuts lors de leurs révoltes3. Cette cour devint célèbre, dit-on, par une bataille qui opposa les canuts aux soldats de l'armée régulière[réf. nécessaire]. Compte tenu de la date de construction, il peut s'agir de combats ayant eu lieu lors de la seconde insurrection des Voraces4 en 1849. Une autre hypothèse est évoquée : l’immeuble aurait abrité la loge d’une organisation mutualiste de Canuts : le Devoir mutuel. Le mot « Dévoirant » - c’est-à-dire les membres du Devoir mutuel -, déformé, a fini par donner le mot « Voraces ». Il se dit aussi que le mot "voraces" est issu du fait que ces canuts luttaient contre la diminution du volume du pot de vin. En effet le pot de vin devenait de plus en plus petit, mais le prix restait inchangé. (cf. Les Voraces (Lyon)) Seconde guerre mondiale.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les traboules lyonnaises, lieux sombres et secrets (peu connus des étrangers) dont la configuration favorisait les activités clandestines, ont permis aux réseaux de résistance d’échapper à la surveillance de l'occupant allemand. La Cour des Voraces est souvent évoquée comme symbole de cette résistance5. Plus récemment[modifier | modifier le code] En 1995, l'association Habitat et Humanisme dirigée par le père Bernard Devers rachète le lieu et lance des travaux de réhabilitation de la cour qui devient alors un symbole de l'habitat social3, et les gones du quartier retrouvent les joies du « débaroulage » (dégringolade en parler lyonnais et franco-provençal).
La Cour des Voraces](https://mediaim.expedia.com/destination/2/57bfc91def95553508c875df81d3dbe0.jpg?impolicy=fcrop&w=900&h=506&q=mediumHigh)
