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Hotel de la Gare – urban by balladins

2.0 star property
6.8 out of 10, (155)
"Overnight stay. Free parking. Front of house guy was great. "
Hotel de la Gare – urban by balladins

Relais des Cinq Routes

2.0 star property
8.4 out of 10, Very Good, (74)
"Very friendly owners "
The price is SAR 254
SAR 284 total
includes taxes & fees
1 Sep - 2 Sep
Relais des Cinq Routes

Christina

2.0 star property
7.2 out of 10, Good, (146)
"Very clean. Persons at reception and breakfast very kindly"
The price is SAR 217
SAR 245 total
includes taxes & fees
22 Sep - 23 Sep
Christina
Save an average of 15% on thousands of hotels when you're signed in

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Medieval charm awaits at ChĂąteau de Cluis, where you can explore ancient towers and discover centuries of fascinating local history. Wander the narrow village streets lined with traditional stone houses before enjoying regional cuisine at family-owned bistros in the central square.

Cluis-Dessous (Indre) Le chĂąteau domine la vallĂ©e de la Bouzanne. Cette forteresse des XIIĂšme et XVĂšme siĂšcles renferme un chĂątelet d’entrĂ©e avec des vestiges du pont-levis flanquĂ© de tours, un donjon du XIIĂšme siĂšcle sur motte, une enceinte et un corps de logis des XIVĂšme et XVĂšme. Elle domine la VallĂ©e de la Bouzanne. La chapelle castrale, serait romane. La forteresse protĂ©geait la frontiĂšre entre le royaume de France et le duchĂ© d'Aquitaine. L'aspect pĂ©dagogique du lieu est indĂ©niable. Les restaurations sont heureusement discrĂštes. Le premier seigneur connu de Cluis est Giraud (vers 1000 - 1040), probable vassal de DĂ©ols. Le second seigneur, Boson, est connu par des faits se rapportant Ă  la fondation de l’église de Neuvy Saint-SĂ©pulchre (vers 1042). Boson fut excommuniĂ© suite Ă  son refus de comparaĂźtre devant le concile de Poitiers suite Ă  des dĂ©saccords avec les clercs de Neuvy-saint-SĂ©pulchre (janvier 1078). Une charte concernant l'Ă©vĂȘque de Bourges fait mention de Boson et de son fils Bertrand en 1087. Cette famille s'est Ă©teinte vers 1090. Vers 1092, la chĂątellenie est partagĂ©e entre Eudes de LigniĂšres qui reçu la ville de Cluis (Cluis-Dessus), et les seigneurs de Gargilesse qui reçurent le castrum (Cluis-Dessous). Le dĂ©doublement de la paroisse aboutit aux appelations "Cluis-Dessus", la ville et "Cluis-Dessous", le castrum. Les seigneurs de Gargilesse gardĂšrent peu de temps le chĂąteau, celui-ci passant dans les mains d'Alard Guillebaud, en 1102. Alard Guillebaud mourut vers 1130 en laissant une fille (BĂ©atrix de ChĂąteaumeillant) qui Ă©pousa Raoul VI de DĂ©ols (seigneur de ChĂąteauroux). Cluis-Dessous retourna ainsi dans la maison de DĂ©ols alors que Cluis-Dessus resta au duc d'Aquitaine. Lors du divorce du roi de France et d'AliĂ©nor d'Aquitaine, en 1152, Ebbes de DĂ©ols reste fidĂšle Ă  sa suzeraine remariĂ©e avec le futur roi d'Angleterre, Henri II Plantagenet. Le roi de France, Louis VII, en reprĂ©sailles,entreprend de dĂ©vaster les seigneries des DĂ©ols: il incendie La ChĂątre, ChĂąteau-Meillant et une partie du chĂąteau de DĂ©ols. Ebbes de son cĂŽtĂ© brĂ»le Cluis-Dessus dont le seigneur, Garnier de Cluis, est restĂ© fidĂšle au roi de France. C'est le dĂ©but des guerres franco-anglaises. En 1155, un diffĂ©rend entre les deux seigneurs au sujet de l'abbaye de Varennes, fut arbitrĂ© par Henri II PlantagenĂȘt. PlantagenĂȘt se dĂ©clara «fondateur, gardien et dĂ©fenseur de l’abbaye», et fit retirer l’inscription du seigneur de DĂ©ols. Ebbes de DĂ©ols mourut en 1160 en laissant DĂ©ols et Cluis-Dessous Ă  son fils aĂźnĂ© Raoul VII. En 1176, Raoul entreprit le voyage de JĂ©rusalem et mourut, la mĂȘme annĂ©e, au retour, Ă  Ravenne oĂč il fut enterrĂ©. Il laissait pour seule hĂ©ritiĂšre sa fille Denise de DĂ©ols* alors ĂągĂ©e de trois ans. L'oncle de Denise, Eudes seigneur de La ChĂątre et de ChĂąteaumeillant, la prend en charge. Henri II PlantagenĂȘt menace d'assiĂ©ger La ChĂątre si la fillette ne lui est pas remise. Ayant en charge de Denise, PlantagenĂȘt s’empara de la jouissance de ses seigneuries. Henri II mariera la fillette Ă  un des ses chevaliers, Beaudouin de Rives. Celui-ci meurt alors que Denise n'a pas 16 ans.Le fils de Henri II, Richard Ier dit Coeur de Lion, remariera Denise Ă  AndrĂ© de Chauvigny, en l'Ă©glise de Salisbury en 1189, en prĂ©sence d'AliĂ©nor d'Aquitaine. En 1188, Philippe Auguste s’empare de ChĂąteauroux et de nombreux chĂąteaux du Bas-Berry. À la suite du traitĂ© du Goulet, en mai 1200, Jean-sans-terre abandonne l'hommage des seigneurs berrichons au profit de Philippe Auguste. Par Denise, AndrĂ© de Chauvigny est seigneur de DĂ©ols*, La ChĂątre, ChĂąteauroux, etc. Le couple donna naissance Ă  Guillaume Ier de Chauvigny, seigneur vers 1206. C’est lui qui dut affranchir les habitants de Cluis-Dessous, vers 1215*. Il mourut au dĂ©but de l’annĂ©e 1234. Ce sont les Chauvigny qui crĂ©eront la forteresse telle qu'elle se prĂ©sente. AprĂšs Guillaume Ier, se succĂ©deront comme seigneurs de Cluis-Dessous : Guillaume II*, son fils; Guillaume III*, fils du prĂ©cĂ©dent, Ă  l'origine de la forteresse; AndrĂ© II*, fils du prĂ©cĂ©dent; AndrĂ© III fils du prĂ©cĂ©dent qui mourra Ă  la bataille de Poitiers en 1356*. A la fin du XIVe siĂšcle, vers 1358, Cluis-Dessous entra briĂšvement dans la famille de Villemur, par mariage du vicomte de Villemur avec Marguerite de Chauvigny, fille de AndrĂ© III. La chĂątellenie devant revenir Ă  la maison de ChĂąteauroux aprĂšs la mort de Marguerite de Chauvigny et de ses enfants, la maison de Villemur ne gardera Cluis-Dessous que jusqu'en 1401. Guy II de Chevigny, petit fils de AndrĂ© III de Chauvigny, rĂ©clama son bien et aprĂšs paiement de 10 300 livres tournois et 4000 florins il prit possession de la chĂątellenie le 11 aoĂ»t 1401. Guy II* s’installa au chĂąteau oĂč il y mourut en 1422 Ă  76 ans. Guy III hĂ©rita de Cluis-Dessous (et ChĂąteauroux). Il aparticipa Ă  la chevauchĂ©e de Jeanne d'Arc vers Reims. Homme pieux, il fonda un ermitage dans le bois du Plaix. Il mourut Ă  75 ans, Ă  ChĂąteauroux, le 25 mars 1483. François, fils aĂźnĂ© du prĂ©cĂ©dent, prĂȘta hommage Ă  l'abbaye de Saint-Sulpice de Bourges*, pour Cluis-Dessous en juillet 1484. Son fils, AndrĂ© IV de Chauvigny, Ă©pousa Louise de Bourbon-Montpensier. A la mort de son Ă©poux en janvier 1503, le couple n'ayant pas d'enfants, Louise hĂ©rita des domaines. Elle Ă©pousa en secondes noces, en 1504, un cousin de la branche Bourbon-VendĂŽme, Louis de Bourbon prince de la Roche-sur-Yon. AprĂšs un long procĂšs avec les hĂ©ritiers naturels, les chĂątellenies de Cluis-Dessous, Neuvy Saint-SĂ©pulcre, Aigurande et du ChĂątelet reviennent Ă  Louise de Bourbon. Cluis-Dessous Ă©tait dĂ©sormais dans la famille Bourbon-Montpensier. PrĂ©fĂ©rant la cour, les Montpensier ne mettront pas souvent les pieds Ă  Cluis-Dessous. Au XVIIe siĂšcle, Anne Marie-Louise d'OrlĂ©ans, duchesse de Montpensier*, la "Grande Mademoiselle", fera restaurer la chapelle Notre-Dame de la TrinitĂ© proche du chĂąteau. On signale son passage Ă  Cluis-Dessous en 1666. L'hĂ©ritier de Anne Marie-Louise d'OrlĂ©ans, Philippe d'OrlĂ©ans, frĂšre de Louis XIV, abandonna complĂštement le chĂąteau qui perdit rapidement de sa splendeur. Les ducs perçoivent les revenus de Cluis-Dessous mais la forteresse est dĂ©laissĂ©e. En 1697, la chĂątellenie est vendue, avec les seigneuries d'Aigurande et de Sainte-SĂ©vĂšre, Ă  LĂ©onor de Flexelles*, dit le "marquis de BrĂ©gy", ambassadeur en Pologne et en SuĂšde. Le marquis de BrĂ©gy reçut Cluis-Dessous en paiement d'une dette. Le chĂąteau resta peu de temps dans la famille de BrĂ©gy, le dernier du nom, Germain Christophe*, mourut en 1762, sans descendance. Gabriel de Montaignac, descendant des Gaucourt, seigneurs de Cluis-Dessus, par sa mĂšre, racheta le chĂąteau de Cluis-Dessous et de ses dĂ©pendances en 1767*, et rĂ©unit les deux paroisses de Cluis-Dessus et de Cluis-Dessous. Le domaine passa ensuite par mariage dans la famille du marquis de Lestrange*. Les deux Cluis furent rĂ©unis en une seule commune en 1818. La commune achĂšte le chĂąteau en 1980, sa consolidation et son animation sont confiĂ©es Ă  l’ASSC (Association pour la sauvegarde des sites de Cluis). Un ancien manuscrit, copiĂ© par le PĂšre PĂ©an Cordelier, assure que Raoul VII de DĂ©ols eut deux fils qu'un accident lui enleva en mĂȘme temps, l'aĂźnĂ© Ă  16 ans et l'autre Ă  14. "Ces deux jeunes Princes prenant ensemble le divertissement de la chasse sur l'Ă©tang de Grammont, l'un d'eux tira sur un canard et le tua, et le voulant prendre se jeta inconsidĂ©rĂ©ment dans l'Ă©tang, oĂč l'autre le voyant engagĂ© et en pĂ©ril, et voulant secourir, s'y jeta aussi, et l'un et l'autre y pĂ©rirent misĂ©rablement ; ce qui fut cause pour le Prince leur pĂšre en mĂ©moire de cet accident, qui lui enlevait l'espĂ©rance de son nom et l'appui de sa maison, fonda au mĂȘme lieu l'Ă©glise et le prieurĂ© de Grammont, qu'il dota de ses biens, et fit Ă©riger en l'Ă©glise un tombeau Ă©levĂ©, oĂč l'on voit encore aujourd'hui dans les ruines de ce prieurĂ© les effigies de ces deux jeunes Seigneurs gravĂ©s sur leur tombeau ..." (Histoire de Berry. Par Gaspard Thaumas de la Thaumassiere - Bourges 1689) L'abbĂ© de DĂ©ols, attaquera le mariage de Denise de DĂ©ols avec AndrĂ© de Chauvigny, au prĂ©texte d'une consanguinitĂ© incertaine qui en rĂ©alitĂ© n'est qu'une question d'intĂ©rĂȘts. L'Ă©vĂȘque de Bourges suivra son curĂ©, et prononcera la nullitĂ© du mariage. Le couple fera appel au pape CĂ©lestin III, mais c'est son successeur, Innocent III qui validera le mariage. Innocent III dĂ©clarera: «il n'est pas facile de ne pas admettre un mariage qui a durĂ© si longtemps et d'oĂč une nombreuse descendance est issue». Cette apparente bienveillance du Pape cache certainement un marchandage, le seigneur de DĂ©ols reconnaissant la puissance de l'abbaye de DĂ©ols. "La chĂątellenie de Cluis-Dessous est composĂ©e de quatre paroisses, dont les habitants Ă©taient autrefois des serfs du seigneurs chĂątelain. Ces habitants furent affaranchis par des seigneurs de la maison de Chauvigny, et la seigneurie est divisĂ©e de tems immĂ©morials en quatre affranchissements gĂ©nĂ©raux, celui du bourg et paroisse de Cluis, celui de la ForĂȘt-Montpeigner, celui de Crozon, et celui de Mouheres. Le seigneur s'est rĂ©servĂ© dans chacun de ces affranchissements des droits dont les uns sont purement personnels, les uns rĂ©els, et les autres mixtes, qui son dĂ»s par les habitants Ă  cause des fonds dont ils sont propriĂ©taires." (Oeuvres posthumes de maĂźtre Louis de HĂ©ricourt contenant ses mĂ©moires sur des questions de droit civil, tome II - Paris 1759) Guillaume II, participa aux deux croisades de Saint-Louis. Il mourut de retour de la deuxiĂšme, Ă  Palerme, en janvier 1271. Guillaume III succĂ©da Ă  son pĂšre Guillaume II. C'est ce seigneur qui fit construire la forteresse. En 1292, il fit faire un dĂ©nombrement de ses fiefs. AndrĂ© II, prĂȘte hommage Ă  l’abbĂ© de Saint-Sulpice, son suzerain effectif, le 27 septembre 1327. Il donnera la chĂątellenie en apanage Ă  son fils AndrĂ© III le 11 janvier 1335, mais son pĂšre ayant promis Ă  sa fille Marguerite une dot de 1000 livres de terres lors de son mariage avec le vicomte de Villemur, AndrĂ© III dut renoncer. Le 19 septembre 1356, l'armĂ©e française est Ă©crasĂ©e par les archers anglais au nord de Poitiers (Ă  NouaillĂ©-Maupertuis). Cette dĂ©faite militaire relance la guerre de Cent Ans et qui avait commencĂ© vingt ans plus tĂŽt sous Philippe VI de Valois. L'armĂ©e anglaise de 7 000 hommes est commandĂ©e par le Prince Noir. Le roi de France, Jean II le Bon, aligne 15 000 hommes. La charge des chevaliers français tourne au dĂ©sastre devant les archers anglais. Jean le Bon et son quatriĂšme fils ĂągĂ© de 14 ans, Philippe le Hardi, lĂąchĂ©s par les chevaliers lors de la poursuite du Prince Noir, seront fait prisonniers. C'est au cours de cet Ă©pisode que Philippe le Hardi encouragera son pĂšre, par ces paroles cĂ©lĂšbres ; "PĂšre, gardez-vous Ă  droite, pĂšre, gardez-vous Ă  gauche !". Le roi d'Angleterre, Edouard III, exigera une Ă©norme rançon pour la libĂ©ration du roi de France. A la mort de Jean le Bon en 1364, seul un tiers de la rançon a Ă©tĂ© payĂ©. Le traitĂ© de BrĂ©tigny, en 1360, cĂ©dera pratiquement tout le sud-ouest de la France au royaume d'Angleterre. Guy II de Chauvigny, Ă©galement vicomte de Brosse, ayant pris le parti du roi, se battra aux cĂŽtĂ©s de Dugesclin. Il sera fait chevalier de sa main. Guy II meurt Ă  Cluis-Dessous en 1422. SituĂ©e Ă  l'ouest de Bourges, l'abbaye bĂ©nĂ©dictine Saint-Sulpice avait Ă©tĂ© dotĂ©e d'un marchĂ© hebdomadaire et de foires annuelles par Louis le Pieux. Charles le Chauve lui accorda de nombreux privilĂšges judiciaires, fiscaux, Ă©conomiques. L'abbaye Saint-Sulpice alliait puissance matĂ©rielle et prestige religieux. A l'origine Ă©tait une modeste colonie religieuse organisĂ©e par l'Ă©vĂȘque Sulpice au VIIe siĂšcle. Dans un acte de 650, on apprend que Clovis II accorde de nombreux avantage Ă  l'abbĂ© de Saint-Sulpice. Le monastĂšre avait rĂ©pondu favorablement, avec 20 monastĂšres du Berry sur 29, Ă  l'appel de Philippe le Bel Ă  le soutenir dans sont conflit avec la papautĂ©. Anne Marie-Louise d'OrlĂ©ans, duchesse de Montpensier, dite "la Grande Mademoiselle", cousine germaine de Louis XIV, prit parti pour la Fronde des princes (1650-1653), elle fit mĂȘme tirer les canons de la Bastille contre les troupes royales et ouvrir les portes de Paris Ă  CondĂ©, le 1er juillet 1652. L'Ă©chec de la Fronde auboutira au renforcement de la monarchie. Contrainte de s'exiler aprĂšs le retour du jeune roi et de Mazarin, elle demeura sur sa terre de Saint-Fargeau jusqu'en 1657. En 1670, ĂągĂ©e de 45 ans et toujours non mariĂ©e, elle tombe amoureuse du bellĂątre Lauzun de six ans son cadet. SĂ©ducteur impĂ©nitent, Lauzun disputa mĂȘme au roi la conquĂšte de madame de Valentinois, ce qui lui fit goĂ»ter la bastille une premiĂšre fois. Il sĂ©journa Ă  la bastille une deuxiĂšme fois, pour s'ĂȘtre cachĂ© sous le lit du roi et de madame de Montespan, afin d'Ă©couter leur conversation, pour savoir si la maĂźtresse du roi Ă©tait responsable d'un refus du roi concernant une charge demandĂ©e. AprĂšs avoir d'abord acceptĂ©, devant le tolĂ© gĂ©nĂ©ral, le roi refusa le mariage de la Grande Mademoiselle et de Lauzun. Lauzun, arrĂȘtĂ© dans sa chambre Ă  saint-Germain, fut conduit par d'Artagnan Ă  la forteresse de Pignerol oĂč il retrouva Fouquet; il y resta 10 ans, de 1671 Ă  1681. En 1695, Ă  l'Ăąge de 62 ans, le vieux barbon Ă©pouse une belle-sƓur de Saint-Simon, GeneviĂšve-Marie de Durfort, ĂągĂ©e de 15 ans. Il s'Ă©teint en 1723 Ă  90 ans. On dit que la duchesse de Montpensier Ă©pousa Lauzun secrĂštement, vers 1671, ce qui n'empĂȘchera pas Lauzun de reprendre sa carriĂšre de sĂ©ducteur. MalgrĂ© sa grande richesse, la duchesse de Montpensier resta d'une avarice lĂ©gendaire qui la rendit peu sympathique. Le 15 avril 1693, elle fut prise d'une maladie de vessie qui s'aggrava rapidement. Elle mourut le 5avril, Ă  66 ans, et fut enterrĂ©es Ă  Saint-Denis. "Au milieu de la cĂ©rĂ©monie, une urne dans laquelle, par un arrangement bizarre, on avait enfermĂ© les entrailles, « se fracassa avec un bruit Ă©pouvantable et une puanteur subite et intolĂ©rable [59]. » Des femmes s’évanouirent, le reste de l’assistance gagna le grand air Ă  la course. « — Tout fut parfumĂ© et rĂ©tabli, » mais cette scĂšne burlesque devint la risĂ©e de Paris. Il Ă©tait Ă©crit que la Grande Mademoiselle aurait toujours son petit coin de ridicule, mĂȘme le jour de son enterrement." (La Grande Mademoiselle - ArvĂšde Barine - Revue des Deux Mondes tome 25, 1905) LĂ©onor de Flesselles (Flexelles, FlĂ©celles) dit «Marquis de BrĂ©gy» dĂ©cĂ©dĂ© sans enfants en 1712. Il est Ă©galement vicomte de Corbeil, seigneur de Tigery, chevalier d’honneur au SiĂšge & PrĂ©sidial de CrĂ©py-en-Valois, conseiller d’Etat, Lieutenant pour le Roi au Gouvernement de l’Isle de France, Ambassadeur Extraordinaire en Pologne puis en SuĂšde. En 1676, il Ă©pouse en premiĂšres noces Dame Marie des Croisettes-de Saint Mesme et en seconde noces (dĂ©cĂ©dĂ©e en octobre 1688), et en secondes noces, en 1696, Catherine Jeanne Auzanet, fille de BarthĂ©lĂ©mi Auzanet, conseiller au Grand Conseil . Germain Christophe FlĂ©celles dit le Marquis de BrĂ©gy, baron de Sainte-SĂ©vĂšre, seigneur de BrĂ©gy, d'Aigurande, d'Aigurandelle, de Cluis-Dessous, de la VervolliĂšre, etc, est dĂ©cĂ©dĂ© en aoĂ»t 1762 dans la terre de Cluis-Dessus appartenant au marquis de Gaucourt. Il fut inhumĂ© dans l'Ă©glise Saint-Christophe de Cluis. Le fief comprend 100 hameaux ou mĂ©tairies (sur les paroisses de Cluis-Dessus, Mouhers, Crozon, La Buxerette, Saint-Denis de Jouhet et autres), ainsi que le fourneau Ă  fer de Cluis-Dessous et les forges de Crozon. Mariage de Gabrielle de Montaignac avec Alexandre de Lestrange en 1770. www.syndicat-initiative-cluis.com/histoire/ archive.is/OeRR fr.wikipedia.org/wiki/Cluis www.rempart.com/site-forteresse-de-cluis/123362 www.rempart.com/asso-association-pour-la-sauvegarde-des-s...
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